En France, la survenue de plusieurs épidémies d’origine hydrique, dont celle de Divonnes les bains (800 cas estimés) a motivé la création en 2006 d’un Réseau national de surveillance de la cryptosporidiose : le réseau Cryptoanofel dont l’activité a été décrite dans des rapports annuels à l’InVS. Ce réseau est coordonné par le laboratoire du CHU de Rouen depuis 2012. Depuis la création de ce réseau, la détection de cette parasitose a pu être significativement améliorée avec la mise en place d’une déclaration en ligne à la fin de l’année 2014.